Objectif de réduction du déficit public à 4,6 % du PIB. Mise en place d’une année blanche : gel des prestations sociales, des retraites et des barèmes fiscaux. Stabilisation des dépenses publiques, notamment sur la santé et les aides sociales. Éventuelles économies via : désindexation partielle des retraites, réforme de l’assurance chômage, réduction de postes dans la fonction publique, gel des crédits d’impôt. 

 🏦 Assurance-vie : quel impact en 2026 ? 

1. Éventuelle réforme de la fiscalité Des pistes de réforme existent (abattements réduits, fiscalité progressive), mais aucune mesure officielle n’a encore été votée. L’assurance-vie reste pour l’instant fiscalement avantageuse, surtout au-delà de 8 ans de détention.

  2. Rendements attendus Les fonds en euros offrent des rendements moyens autour de 2,5 % à 2,6 %. Les contrats bonifiés avec unités de compte peuvent aller jusqu’à 4 %, selon les conditions.

 3. Fiscalité actuelle maintenue Les plus-values ne sont imposées qu’en cas de rachat. Le prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 % s’applique (ou option pour le barème de l’impôt). Abattement annuel maintenu après 8 ans : 4 600 € pour une personne seule, 9 200 € pour un couple. 

 4. Confiance des épargnants L’assurance-vie reste le placement préféré des Français, avec une collecte record en 2025. La diversification en unités de compte progresse, portée par les rendements attractifs et le besoin de dynamiser l’épargne. 

✅ À retenir pour 2026 Rien ne change pour le moment, mais restez vigilant à l’automne lors des débats budgétaires. L’assurance-vie reste pertinente pour préparer la retraite, transmettre un capital ou optimiser sa fiscalité.